Tous les ministères s'efforcent de diminuer la masse salariale et font des efforts. J'observe que le ministère de l'éducation nationale n'a pas été épargné, mais a toujours eu les moyens nécessaires pour bien fonctionner. Je le vois à Tourcoing, où vous vous étiez d'ailleurs rendu pour lancer cette belle réforme, monsieur le ministre : tout cela marche très bien, et les améliorations tant qualitatives que quantitatives sont visibles sur le terrain.
Je trouve qu'il y a parfois ici un esprit de faux débat. Mais le sujet, c'est de marquer des points dans quatre ans. Et vous verrez, je le souhaite, je le pense, que nous récolterons à ce moment les fruits de cette politique. Je ne défends pas cette école de la qualité dans un esprit de flatterie. Je ne veux pas vous frotter la manche, comme on dit chez nous dans le Nord.